Montélimar Julien COZAR "Qu'est ce que l'existence d'un pauvre?" 

MERCI DE PRENDRE LA PEINE DE LIRE JUSQU'AU BOUT

Un labyrinthe infernale ou il est impossible de se sortir du manque, l'accablant de tous les maux... faute de moyen confiné dans un engrenage perpétuelle, de voir son assiette remplie de mal bouffe, ou il va encore et encore, s'empiffrer afin de remplir son vide qui le torture au quotidien. Mendiant de bien-être et de bonheur, s'enfonçant de mal en pis dans cette croyance infernale, qu'il n'est qu'un bon a rien pas fait pour être aimé ou être heureux, cette frustration semblable a une tic dévorant jusqu'aux os, dans l'incapacité d'apaiser son corps de souffrance et d'alléger son cœur lourd de chagrin qui est un poids émotionnelle, engrossant sa frustration et sa colère d'un stress permanent affolant le cortisol, pour rajouter le poids de l'humiliation du poids corporel pour encore plus se sentir profondément mal, alors il va commencer de plus en plus à se détester en fuyant le miroir pour ne plus voir son reflet, il fera pour ne pas sortir de chez lui à se cacher du regard des autres, écrasé sous le poids la honte d'une culpabilité accablante, pour perdre encore plus la confiance et d'estime de soi, se positionnant dans la catégorie des riens ou du maillon faible, pour une vie avilissante de bas étage comme dégringolant des escaliers pour se retrouver dans une cave, afin de finir enlisé et stagnant dans la toile d'araignée d'une routine tueuse...

Les émotions dues aux déchirures de l'enfance, doivent êtres misent en avant, l'abandon et le manque d'amour sont les causes racines de pauvreté et de dysharmonies...
La plus grande peur du pauvre n'est pas la mort, mais de perdre son logement le peu qu'il lui reste et sa santé sachant qu'il n'aura pas les moyens de se faire soigner, se trouver souffrant et agonisant finissant ces vieux jours rejeté de tous dans la honte, mort seul abandonné dans la rue derrière une poubelle, sans avoir connu ce que c'est d'être aimé et de connaitre le gout, les couleurs et l'odeur du bonheur après toute une existence sans répit, ou il n'était que le souffre-douleur et l'objet de moquerie de tous...

L'alcool la drogue du pauvre ?
La pauvreté est le pire des boulés et racine de tous les maux, une malédiction, une prison pour l'être humain ou il ne peut ni reculer ni avancer...alors nous aimerions ne plus ressentir cette paralysie ou nous comprenons pourquoi un alcoolique ne s'en sort pas ? ...
Parce qu'il est esclave de sa triste existence avilissante ou il est limité, dans un quotidien cassant l'estime de soi, portant le lourd fardeau continuel du sentiment accablant profond et destructeur de la honte, avec le poids du jugement et du regard des autres pour l'accabler encore plus...
La pauvreté est pour moi la maladie plus sournoise qui va créer en nous une émotion de vide et de tristesse, nous confinant dans une prison invisible, nous limitant dans le plus grand des médiocrismes, privé de liberté et de bien-être, d'un être humain privé de sa souveraineté, ce qui va engendrer frustration, colère, de l'envie et de la jalousie voir même à long terme de la haine...

Privé de santé
Nos émotions étouffantes de tristesses répétées, vont se loger dans une partie spécifique du corps comme le poumon pour une maladie incurable à long terme... Non reconnaissance, aucune appartenance à un groupe sociétale ou autre ... Nous avons l'impression d'être invisible et vile, insignifiant sous le poids moqueur du regard des autres.
A long terme, nos émotions de frustrations refoulées, engendrant la colère, pour se loger au niveau de l'estomac à commencer par des ulcères malin, pour finir avec un cancer et faire son chemin pour s'attaquer au foie... et que sais-je encore...
Micro-bio-choc du quotidien et de la routine que l'on ne supporte plus déjà même le matin au réveil, ou nous nous sentons invisible et insignifiant dans une existence sans piment sans sensation nouvelle de bien-être et de liberté, ou les démons de l'alcool nous guettent comme un lion rugissant pour voir quand est ce qu'il va pourvoir "en-fin" nous redévorer,
Alors nous sommes en permanence sur l'eau qui vive, en mode veille pour ne pas encore tomber dans leurs pièges... Ces maudites addictions, qu'elles soient substantielles ou compulsionnelles sont liées étroitement à la pauvreté qui est la pire des maladies, qui gangrènent peut a peu notre état d'être pour finir d'attaquer le corps pour un processus de décrépitude, de laideur, une mort lente...
(Surtout avec autant de mal pour s'en sortir, sans passer par un médecin, par l'addictologie, sans médoc, sans aide et soutien de personne et j'en suis la preuve vivante et pour toute situation)

Pourquoi la pauvreté
La pauvreté est une maladie mentale qui va gangrener, tout le reste de notre existence et de notre corps... Tellement puante et dévastatrice, qu'elle finit par nous rendre tellement laid, que l'on voudrait vite quitter ce monde où règnent le bling bling et les moqueurs « pour les riens c'est marche ou crève » Ou le clochard n'a que sa bouteille comme amie.
Pauvreté = Abandon et insécurité du père... (Absent ou indiffèrent,) manque de repère (Sapant la construction de la confiance en soi, (dysfonction de la polarité masculine)
Rejet et désamour de la mère (Grossesse non-désirée) Sapant la construction de l'estime de soi (Dysfonctionnement de la polarité féminine)

Mon témoignage : Du RSI au RSA à Poubelle la vie ...
A savoir que toutes les aides, les alloc, le RSA viennent de notre fiducie, qui est notre argent créé dès notre naissance, via notre acte de naissance. (Fraude au nom) ... Donc cet argent est à nous que l'on nous donne des miettes et que ça leurs coûte nada !!!
Et ensuite ils vont vous faire croire que ce sont les salauds de pauvres, les fainéants, les riens et les chômeurs qui sont un pognon de dingue pendant les raclures de « chiottes SNCF se font dorer le nombril sur le dos des esclaves...

Alors que l'on s'en prend toujours aux plus démunis, les malheureux les sans dents, les rejetés, même en faisant croire que ceux qui gagnent des millions persuadent ceux qui en gagnent 1500 que le problème vient de ceux qui sont au RSA ...
Alors que les véritables assistés sont au pouvoir qui ne foutent rien et ce sont eux qui se pavanent dans le luxe sur le dos de l'esclave moderne. C'est tellement plus simple de taper sur les pauvres, sachant qu'un malheureux, accidenté de la vie carencé de tous espoirs et de bien-être, d'un cœur brisé n'aura pas les moyens de se défendre ni même l'entrain se disant "à quoi bon" sachant que sa cause est perdue d'avance.
Ces raclures de chiotte « sncf »sont des voleurs, mais en plus des lâches invétérés, sans scrupules et dépourvues de toutes empathies...
Alors je désir que mon message serve à éveiller les consciences, afin que tous soient amenés à qu'ils cessent de montrer du doigt les pauvres gens, qui n'ont pas demandés à subir la rue et la misère.

Soyez indulgents, parce que beaucoup d'entre eux, on peut être pas pus surmonté un deuil, en prenant le meilleur exemple de la perte d'un enfant et n'ont plus eu la force de se lever le matin pour engraisser les gros crevards se foutant de notre gueule ou beaucoup d'entre nous ont finis avec des entreprises pillées par l'état, sans oublier le couteau sous la gorge par l'URSSAF avec ce « maudit » RSI, qui commençait à me réclamer trois mois après la création de mon salon de bien-être, 4000 euros pour finir au RSA, en ce faisant oublier pour revenir à la charge en 2015 avec la saisie sur mon compte bancaire, afin de mettre la pression pour me demander 15 000 euros. Beaucoup se sont suicidés, en aillant tous perdus et vous voyez que je sais de quoi je parle, sauf que dans mon malheur... j'ai eu la chance d'y échapper grâce à ma fille...

Qu'est ce que la paresse

La paresse et la dépression sont interdépendantes.
La paresse est un état de mal être.
Oui, le corps exprime certainement quelque chose. Mais là, on ne parle pas de "coup de blues" mais de dépression, voire de mélancolie. La personne ne trouve aucune justification à rester en vie, à faire, penser, quoique ce soit: Elle n'a envie de rien. Au contraire: VIVRE EST SOUFFRANCE.
Beaucoup de gens, médecins compris, considèrent cette maladie comme la plus grave: c'est à cause de son expression qui fait que l'on ne veut, ne supporte plus rien. Surtout la vie.

C'est la souffrance ultime, la torture physique la pire imaginable ne fera que faire souffrir une partie du corps, voire tout le corps, ici, c'est l'expression absolue d'une souffrance.
Sans y avoir été réellement confronté, d'une manière ou d'une autre, il est totalement impossible de se rendre compte de l'intensité de cette souffrance. Je ne crois même pas que les mots puissent exister pour la décrire: c'est l'antithèse de la vie. (Ceux qui auraient pu la décrire ne pouvaient le faire, à cause même de cette envie de vivre ou de faire qui s'arrête).
Donc, non, personne n'a besoin de cela.
Dans les dépressions le sujet a tendance à se renfermer et il n'est pas évident de le sortir du trou. C'est toujours un appel à l'aide qu'il ne faut pas négliger car les conséquences peuvent être désastreuses.

Si on laisse ces personnes sans aide, souvent elles font des tentatives de suicide, qui ne sont que des appels au début, jusqu'à la tentative finale !
La paresse est une maladie alors pour les gens qui disent que les malheureux sont responsables de leur paresse et qu'ils doivent se bouger le cul!!! « FERMER LA !!! » La paresse est un cercle vicieux, c'est quoi le problème de la paresse? C'est faire des efforts et bien ce qui parait logique c'est que pour sortir de la paresse il faut faire des efforts! Mais c'est plus dur que vous ne le penser c'est comme sortir de l'anorexie pour moi!
Tomber dans la paresse c'est comme tomber dans une toile d'araignée géante! Impossible de fuir!
La paresse est souvent liée à la dépression tout comme la procrastination qui est liée au manque d'information pour entreprendre...
Il nous est FONDAMENTAL d'identifier l'élément déclencheur du mal-être, des associations d'idées liée à une sensation physique, un souvenir ou une émotion.
Cette société nous impose une existence de souffrance dégoûtante injuste et cruelle. Il est normal de ne pas toujours avoir envie de lutter becs et ongles, seulement pour survivre en nous interdisant tout bien être digne d'un être humain en vivant libre...

Le point de vue d'où l'on observe un "mal-être" compte. Vouloir le guérir peut le dramatiser. Considérer comme une tare le fait de se sentir en-deçà de ses possibilités alourdit la peine. Pourquoi ne pas se laisser aller ? Pourquoi ne pas essayer de voir jusqu'où mène cette prétendue "paresse" ressentie comme une faute ? Le corps exprime sûrement quelque chose à travers cette sensation de fatigue. Enfin, la grande forme n'exclue pas les passages à vide. Le repos et l'apathie sont-ils exempts de vertu ? Les rêves notamment ont besoin de ces relâchements pour se développer.
Pour les personnes en détresse, j'ai relevé 2 numéros d'écoute bienveillante :
Suicide Ecoute : 01 45 39 40 00 (24/24h, 7j/7)
SOS Suicide-Phénix : 01 40 44 46 45 (12h à 24h)
Numéros utiles
Urgences médicales et d'écoute
Samu
Tél. : 15
Numéro d'urgence européen : 112
Pompiers
Tél. : 18
Centre antipoison
Tél. : 01 40 05 48 48
SOS Médecins
Tél. : 01 47 07 77 77
08 20 33 24 24
SOS Œil
Tél. : 01 40 92 93 94
SOS Dentistes
Tél. : 01 43 37 51 00
ÉCOUTE
SOS Futures Maman
Tél. : 01 42 85 14 70
SOS Viols Femmes Information
Tél. : 08 00 05 95 95
Allô Enfance maltraitée
Tél. : 119
Asthme et Allergies infos service
Tél. : 08 00 19 20 21

La maladie ? D'où vient « le mal-a-dit »
Comprendre les symptômes avec la LIBÉRATION PSYCO ÉMOTIONNELLE https://www.estelledaves.com/pages/symbolique-du-corps/

Merci de prendre connaissance de la Cause des causes de tous les maux DU CANCER de l'humanité ici sur ce lien avec les solutions "GRATUITEMENT"
https://www.dropbox.com/.../LE%20DROIT%20DE%20SAVOIR%20-%20La...